Avant l’AZ, j’étais prisonnière de mes clients. C’est-à-dire que je dépendais d’eux, de leur volonté de se présenter à leur rendez-vous, de leur emploi du temps. Ce qui fait en sorte que si une personne n’était pas là, je devais prendre des actions pour combler la place. Oui, je travaillais déjà de la maison pour me permettre une qualité de vie, mais, je n’avais aucun sentiment de contribution. J’avais besoin de contribuer à plus grand que du un pour un. Désormais, dans mes programmes en ligne, c’est toujours moi qui montre le mouvement, comment le corriger et comment s’auto-évaluer par rapport à cela. Si je n’avais pas fait l’AZ, je serais sûrement en train de m’éteindre.

Découvrez nos autres histoires à succès...

>