Dans un premier temps, Martin a été absolument exceptionnel pour m’amener à un niveau supérieur sur le plan professionnel, et dans un deuxième temps, et c’est là que ça me touche profondément, à me sortir du tourbillon malsain du succès, là où on en est accros, à me redéfinir en tant qu’humain.
Il y a une différence entre être en action ou en réaction. Et ça, c’est quelque chose que Martin enseigne: à être un BON entrepreneur. Ça permet de cibler, de prioriser: de faire des choix éclairés au lieu de dire juste “oui” pour plaire et espérer l’expansion. On doit tenir compte de nous dans l’équation.
Dans la plus grande transparence, Martin est arrivé un point dans ma vie ou malgré le plus grand des succès, j’étais profondément malheureuse, et j’ai posé un genou à terre. C’est dans ce moment le plus noir de ma vie que Martin m’a tendu la main, et m’a montré qu’au-delà des succès financiers et entrepreneuriaux, il fallait aussi se réaliser comme personne. Être en harmonie professionnellement et sur le plan humain, dans mon cœur, je lui dois tout ça.
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Aujourd’hui, après l’AZ, donc 3 ans après, j’ai publié 23 livres aux éditions Larousse et vendu 200k exemplaires. J’ai une communauté de lectrices qui m’est très très fidèle, j’organise des séminaires aux îles Canaries et en 6 jours c’est complet!!! J’ai bossé comme une malade, je vous assure. L’AZ, m’a donné l’impulsion nécessaire pour avoir une grande confiance en moi, me dire que j’étais légitime, virer le syndrome de l’imposteur et avancer.
Anna Austruy Coach et auteure Paris, France
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Salariée du gouvernement depuis toujours, elle possédait aussi son business en parallèle et voulait amener son activité à un autre niveau. Avec l’AZ, elle a pu reconstruire son estime personnelle, sa confiance et miser finalement sur son potentiel en plus de découvrir un réseau dans lequel elle se sent soutenue.
Manon Leclair Agent de recherches, Consultant chez Mary Kay Lévis, Canada
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Avant l’AZ, j’étais prisonnière de mes clients. C’est-à-dire que je dépendais d’eux, de leur volonté de se présenter à leur rendez-vous, de leur emploi du temps. Ce qui fait en sorte que si une personne n’était pas là, je devais prendre des actions pour combler la place. Oui, je travaillais déjà de la maison pour me permettre une qualité de vie, mais, je n’avais aucun sentiment de contribution. J’avais besoin de contribuer à plus grand que du un pour un. Désormais, dans mes programmes en ligne, c’est toujours moi qui montre le mouvement, comment le corriger et comment s’auto-évaluer par rapport à cela. Si je n’avais pas fait l’AZ, je serais sûrement en train de m’éteindre.
Noémie Séguin Physiothérapeute Marieville, Canada
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